vendredi 17 septembre 2010
Les clés des champs
mardi 16 mars 2010
Coups d'oeil
Une échoppe minuscule comme on n'en voit plus dans Paris.
La preuve, celle-ci est à Issy.
Sans légende.
mercredi 29 juillet 2009
Les onze y trônent
Enfin, onze et quelques. Louis XI (ci-contre) aussi, d'ailleurs...
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L'exécution de Louis XVI
Hélas, tout ça ne constitue pas un bagage bien lourd. Conscient de cette lacune, j'ai bien essayé de la combler. Voilà plusieurs années, j'ai d'abord emprunté un livre sur les rois de France à ma soeur. L'ouvrage, quoique complet, s'est vite révélé assez rébarbatif. Pire, l'étalement généalogique sur des pages successives n'aidait en rien à la mémoraisation du who's who royal...
J'errai donc l'âme en peine, face à ce triste constat, jusqu'à dimanche dernier, lorsque je découvris ce poster dans la boutique du château d'Ecouen. Cette affiche claire et abordable présente l'avantage de tout synthétiser en un même document didactique. En un mot, c'est donc un synoptique.
"Mais!", vas-tu me dire, "C'est bien beau un synoptique, mais la mémorisation ne va pas se faire toute seule!" Comme tu as raison! C'est bien là la force du synoptique face aux bouquins : l'apprentissage peut s'opérer par imprégnation!
Il suffit de placer le poster dans un endroit adapté, où l'on sait d'avance être contraint de passer de longues minutes chaque jour et le tour est joué! Quelle meilleure place, d'ailleurs, que la salle du trône, pour afficher un synoptique royal?? A titre d'exemple, depuis ma prime jeunesse, un planisphère orne le mur des water chez mes parents. Et c'est bien grâce à cette fantaisie ornementale que je peux aujourd'hui me targuer, sans me vanter, d'être une flèche en géographie mondiale, capitales etc. Pas incollable, mais presque.
Voilà, il ne me reste plus qu'à laisser le temps faire son oeuvre pour avoir, d'ici quelques semaines, de bonnes notions qui ne demanderont plus qu'à être confortées par un transit intestinal régulier.
L'info dont on se fout : Il est heureux que certains membres de la famille royale n'aient jamais accédé au trône car ils avaient vraiment des noms à coucher dehors. Ainsi, l'un des fils de Clovis 1er s'appelait Clodomir! Et comme si ça n'était pas suffisamment difficile à porter, ou en guise de revanche sur le destin, il prénomma son propre fils Clodoald...
Et parce que les rois écoutaient plutôt de la musique classique, voilà un morceau de cordes frottées qui te replongera pour un temps dans l'ambiance de Requiem for a dream : Lux Aeterna, par le Kronos quartet :
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vendredi 24 juillet 2009
Insol-it!
Chaise d'immobilisation du buste et de la tête utilisée pour les daguerréotypes
Elle aurait moins fait la maligne, la sus-montrée Hilary Swank, photographiée sur un siège de ce genre, non mais!
Toute cette entrée en matière pour te faire prendre conscience qu'en d'autres temps, je n'aurais pas eu l'opportunité de me balader en permance (ou du moins presque) avec un appareil photo sur moi. Certains trimballent leur maison sur leur dos, moi, un appareil photo dans mon sac.
Je n'aurais donc pas eu l'opportunité, non plus, de partager avec toi, ci-dessous, les quelques photos insolites qui ont parsemé mon été. D'un autre côté, à l'époque du daguerréotype, niveau blog, ils n'étaient pas très au point non plus, faut dire...
Bref, voici donc quelques photos, faites au jour le jour:
Les cabines téléphoniques des Dalton + 1 (à Saint-Malo)
Jumelle(.) au salon du Bourget
Pas pu m'empêcher... désolé...
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.La faune du bois de Vincennes est certes réputée sauvage, mais tout de même, des Centaures?!?
Dans mon village (lorrain), y'avait la foire à la quiche. Mais là quand même! J'imagine les musiciens en concert : "Retrouvez-nous à la fête de la sardine samedi prochain, et dans 15 jours au salon du poney!"
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.Détaillant de tombes miniatures, près du Père Lachaise... A moins qu'il ne s'agisse de grandes tombes pour nains?
.Bon, là ça saute pas aux yeux, mais si je te dis que le bonnet du monsieur est de type "phrygien"!?
.Voilà pour te resituer le contexte... en pleine fresque historique, mois je dis, un aussi bel anachronisme, faut oser! C'est le mec qui a servi de modèle qui doit bien se marrer quand il passe par là!
mardi 21 juillet 2009
Fly me to the moon...
On l'a dit et répété ces derniers jours... voilà aujourd'hui quarante ans (heure française) que la main de l'Homme a mis le pied sur la Lune...
Et les lunosceptiques de demander : "et Bibendum, pourquoi il n'a pas d'ombre, lui??"
Je veux juste t'aider un peu à t'orienter si l'envie te prend de creuser le sujet plus avant :
En complément, pour te replonger dans l'esprit de la conquête spatiale, tu peux donc commencer par (re)visionner The Right Stuff (L'étoffe des Héros, in french), qui renvoie à l'époque pas si lointaine des pionniers de l'espace et des fusées qui explosaient.
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mardi 16 juin 2009
Feu Kung - (Bill Killed)
C'est en lisant Vosges-Matin, la semaine dernière, durant mes vacances, que j'ai appris la mort de David Carradine (John, de son vrai prénom).
Du haut de mes 25 ans, je n'avais pas eu l'occasion de connaître la série culte Kung Fu qui avait fait sa renomée dans les années 70. J'avais découvert Carradine 20 ans après, dans la 2e génération de la série : Kung Fu, la légende continue.
Tout ça est un peu décousu, mais c'est pour dire que les liens de parenté n'étaient pas bien facile à comprendre pour qui découvrait la seconde série sans avoir connu la première. D'autant que le générique était propice au qui pro quo, introduisant l'arrière petit-fils à l'image quand le narrateur évoquait l'histoire du petit-fils, soit, en résumé, son père. Bref :
Quoi qu'il en soit, en dépit du côté un peu ringard de cette série, j'aimais bien. Surtout du fait de la musique du générique et des illustrations musicales des épisodes. Il faut dire que j'avais alors 11 ou 12 ans, et que tout ado que j'étais, je m'identifais au héros, capable d'intercepter des poignards et des étoiles de ninja au vol : "Ca doit méchamment épater les filles" me disais-je alors...
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Ce qui me plaisait bien, aussi, c'était l'attitude calme et placide de Kwai Chang Caine / Carradine. Il ne payait pas de mine, le vieux, sous ses airs tranquilles, mais ça ne l'empêchait jamais d'envoyer au tapis les méchants.
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